toutankhamon et le scarabée d or
Comédieinteractive, musicale et pédagogique pour enfants de 4 à 10 ans. Le Grand Prêtre, fourbe et manipulateur, a un objectif terrible : retrouver le Scarabée d’Or qui lui permettrait d’avoir les pleins pouvoirs sur l’Égypte. Ankhesenamon, fille du Pharaon, lui sert d’espion contre son gré. Elle est chargée de rencontrer son cousin Toutankhamon,
TOUTANKHAMON Né sous le nom de Toutankhaton - l'image vivante du Dieu Aton - les origines de Toutankhamon restent mystérieuses, même si de nombreux spécialistes pensent qu'il est le fils d'Amenhotep IV et de la reine Néfertiti. Converti au culte d'Amon, il devient donc Toutankhamon, et fait ériger un temple à l'ouest de Thèbes.
Cettepièce exceptionnelle, parmi les 150 autres prêtées par le musée du Caire, n'est rien de moins que « le second masque d'or royal découvert après celui de Toutankhamon »,
TOUTANKHAMONET LE SCARABÉE D’OR – Théâtre LE BOUT – 6 rue Frochot 75009 Paris (M° Pigalle) – Tel : .88. Partagez ! Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Cliquez pour partager sur
Ainsi les Égyptiens pensaient que la force qui déplaçait le soleil dans le ciel était un dieu géant, un scarabée géant, Khepri. Ils croient que le Soleil était ce qu'on appelle l'œil de Ra, qui était son char ou sa machine volante. Et ce qui le faisait bouger, croyaient-ils, était le dieu à tête de scarabée, Khepri, et le
Salle De Sport Lieu De Rencontre. En novembre 1922, Howard Carter découvre le tombeau de Toutankhamon. Derrière les portes scellées, un spectaculaire trésor attend depuis des siècles de révéler ses splendeurs. Découvrez cinq de ces chefs-d’œuvres, présentés en 2019 à Paris. Le voyage nocturne du pharaon En explorant la tombe de Toutankhamon, Howard Carter découvrit deux effigies du roi grandeur nature qui gardaient l’entrée de la chambre funéraire. Mêmes corps recouverts de bitume noir, couleur du limon déposé par la crue annuelle du Nil, du renouveau végétal et de la vie qui revient. Même débauche de dorures pour les armes la massue et le long bâton mekes, les bijoux le gorgerin, le pectoral et les bracelets et les sandales en bronze. Statue gardienne en bois du Ka du roi portant la coiffe némès, bois, bitume, gesso, dorure, alliage de cuivre, calcaire, obsidienne, cm, Louxor, Vallée des Rois, KV62, antichambre. Vue de l’exposition de La Villette, Paris ©ASLM, 2019 Les différences concernent la coiffe, la forme du pagne et les inscriptions qui y sont portées. La première statue porte le némès, orné de l’uræus en alliage de cuivre doré, une coiffe en lien avec le soleil levant. Le texte confirme cette association. Il évoque Le dieu bon devant lequel on s’incline, le souverain dont on s’enorgueillit, Nebkhéperouré, fils de Rê, maître des diadèmes, Toutânkhamon, seigneur de l’Héliopolis du Sud ndlr expression désignant Thèbes, vivant pour toujours comme Rê, chaque jour. » L’autre statue porte une coiffe appelée khat ou afnet, à connotation nocturne. Selon l’égyptologue Zahi Hawass, les statues représentent peut-être le roi comme une incarnation du dieu soleil pendant son voyage nocturne portant le khat et parcourant le ciel dans la journée après sa renaissance portant le némès. » Des viscères sous double protection La momie de Toutankhâmon était protégée par une série d’enveloppes, s’emboîtant les unes dans les autres quatre chapelles en bois abritaient une cuve en quartzite, laquelle contenait trois sarcophages momiformes. Retirés du corps par les embaumeurs, comme il était d’usage, les viscères du défunt bénéficiaient d’un dispositif similaire dans la pièce annexe une chapelle en bois doré dissimulait un coffre taillé dans la calcite. Petit cercueil canope en or incrusté de Toutankhâmon, dédicacé à Amset et Isis Verre coloré, cornaline, 39,50 x 11 cm, Louxor, Vallée des Rois, KV62, chambre du Trésor, surmonté d’un bouchon en calcite représentant la tête du roi. Vue de l’exposition de La Villette, Paris ©ASLM, 2019 Sous le couvercle, Howard Carter découvrit quatre bouchons représentant le jeune roi. Ils fermaient quatre compartiments creusés dans la pierre qui dissimulaient quatre petits cercueils en or renfermant les organes momifiés. Celui exposé à Paris en 2019 abritait le foie, les trois autres les poumons, l’estomac et les intestins. Chaque organe était placé sous la double protection d’un génie funéraire, l’un des quatre fils d’Horus dont trois étaient à têtes d’animaux ici Amset, et d’une divinité féminine ici Isis. Représentée bras écartés sur l’un des côtés de la chapelle en bois et l’un des angles du coffre en calcite, Isis étend ses ailes à l’intérieur du petit cercueil canope, sur une feuille d’or doublant la cuve et recouverte de formules prophylactiques. Sur le némès du roi, on aperçoit la tête de la déesse cobra Ouadjet, patronne de Basse-Égypte, associée à celle de la déesse vautour Nekhbet, patronne de Haute-Égypte. Des ailes protectrices se croisent sur le torse et dans le dos du cercueil recouvert d’un motif de plumes en or, verre coloré et cornaline dans sa partie inférieure. La mort de l’hippopotame Campé sur un frêle esquif rappelant les embarcations en papyrus et coiffé de la couronne rouge de Basse-Égypte, le jeune pharaon s’apprête à frapper un animal invisible avec son harpon. Une corde est enroulée autour de sa main gauche. Cette figure du roi harponneur, qui apparaît dès la Ie dynastie, nous renvoie à la mise à mort rituelle de l’hippopotame et au mythique combat d’Horus, fils d’Isis et d’Osiris, contre son oncle Seth dans les marécages de Chemnis, l’usurpateur ayant pris l’apparence du pachyderme. Figure de Toutânkhamon sur un esquif lançant un harpon, bois, gesso, feuille d’or, alliage de cuivre, H. 75 cm ; piédestal 70,50 x 18,50 x 5,60 cm, Louxor, Vallée des Rois, KV62, chambre du Trésor. Vue de l’exposition de la Villette, Paris ©HG, 2019 Howard Carter découvrit cette statue en bois doré dans l’une des 22 chapelles déposées dans la tombe. Elle abritait une figure à l’identique » et trois autres effigies de Toutânkhamon, pareillement enveloppées dans des étoffes de lin. Arrête ton char, Horus ! Cette figure du faucon Horus coiffé d’un gigantesque disque solaire servait d’enseigne. Comme l’indique la forme du socle, taillé en gouttière dans la partie inférieure, elle était très probablement fixée à l’avant du timon du char plaqué d’or, retrouvé en pièces détachées dans l’antichambre de la tombe du souverain parmi cinq autres chars. Figure d’Horus en faucon solaire sur l’attelage des chevaux, bois, gesso, dorure, faucon 18,50 x 7,80 cm ; disque 19 x 19,50 cm ; piédestal 6,50 x 5,80 x 4,50 cm, Louxor, Vallée des Rois, KV62, antichambre. Vue de l’exposition de La Villette, Paris ©ASLM Les deux faces du disque portent le même décor, les hiéroglyphes qui forment le nom de couronnement du roi Neb la corbeille, kheperou le scarabée avec les trois barres indiquant le pluriel et Rê le disque solaire. L’association du scarabée ailé, image du soleil matinal, et du faucon, intimement lié à la fonction pharaonique et à l’astre à son zénith, témoigne de ces entrelacs mythologiques dont les prêtres égyptiens étaient coutumiers. Bijou ou chef-d’oeuvre ? Les joailliers égyptiens rivalisaient de virtuosité pour battre et souder les feuilles d’or, marier les gemmes de différentes couleurs. Pierre extraite dans l’actuel Afghanistan, le lapis-lazuli occupe une place dominante dans ce splendide pectoral orné d’un scarabée massif placé sur la barque du soleil levant et poussant un disque solaire en cornaline. Pectoral, chaîne et contrepoids en or incrusté avec un scarabée en lapis flanqué d’uræi, or, argent, cornaline, turquoise, lapis-lazuli, feldspath vert, verre, Longueur 50 cm, Louxor, Vallée des Rois, KV62, chambre du Trésor. Vue de l’exposition de La Villette ©ASLM, 2019 Deux uræi le protègent. Le motif se répète sur les deux chaînes où les coléoptères ne sont plus encadrés mais surmontés par les cobras. Elles se terminent par un vautour de profil à l’aile déployée, tandis que le fermoir épouse la forme d’un serpent. Par son jeu d’accords chromatiques au bleu profond du lapis-lazuli répondent le rouge orangé de la cornaline et l’éclat solaire de l’or, ce bijou est un chef-d’œuvre absolu.
avec 2 CD audio Servi par les magnifiques illustrations de Catherine Adam, fille de l’archéologue Jean-Pierre Adam, et les compositions musicales de Jean-François... Lire la suite 25,50 € Neuf Expédié sous 3 à 6 jours Livré chez vous entre le 2 septembre et le 6 septembre Servi par les magnifiques illustrations de Catherine Adam, fille de l’archéologue Jean-Pierre Adam, et les compositions musicales de Jean-François Leroux, ces coffret offrent aux enfants, dès 5 ans, un aperçu de la vie et des coutumes à cette période fascinante de l’histoire et la larme d’or. Louise, petite fille malicieuse, reçoit un livre racontant la vie d'un enfant roi Toutankhamon ! Elle part donc à la découverte de l'Égypte ancienne, pays d'Afrique le plus envoûtant de tous les temps. Au côté de Toutankhamon, et grâce à la magie des amulettes, elle assiste aux différentes étapes du règne si court du jeune pharaon. Cette histoire donne aux enfants un riche aperçu des modes de vie du peuple égyptien, de ses croyances, de son quotidien, de son environnement et de sa culture. Cléopâtre et le scarabée magique. Il y a plus de 2000 ans, la princesse Cléopâtre se prépare à être couronnée reine d’Égypte au côté de son frère Ptolémée XIII. Anoup, l’un de ses jeunes serviteurs, va se retrouver entraîné malgré lui dans de fantastiques aventures pour déjouer les complots contre Cléopâtre, notamment grâce à son amulette magique en forme de scarabée… Date de parution 06/11/2013 Editeur ISBN 978-2-7234-9768-8 EAN 9782723497688 Format Album Présentation Coffret Nb. de pages 64 pages Poids Kg Dimensions 20,5 cm × 26,0 cm × 4,5 cm Auteur pour la jeunesse depuis plus de 15 ans, Marlène Jobert se voit aujourd'hui couronnée d'un succès exceptionnel en librairie avec plus de 11 millions de contes vendus toutes collections confondues !Avec Marlène Jobert les contes ne vont pas sans musique ! Elle fait même partie intégrante de l'intrigue... Des berceuses comme les chansons douces de Câlinoux de Loups aux contes musicaux, initiation aux plus grands compositeurs de musique classique, jusqu'à la collection Un jour tout là-bas... où les enfants découvrent les peuples et les musiques du monde entier, les contes écrits et racontés par Marlène Jobert sont une invitation au rêve et au voyage !
L’exposition Toutânkhamon, le Trésor du Pharaon », qui se tient actuellement à la Grande Halle de La Villette et ce jusqu’au 15 septembre, célèbre le centenaire de la découverte du tombeau. Plus de 50 ans après » L’exposition du siècle » – qui avait réuni plus de 1,2 million de visiteurs en 1967, à Paris -, c’est une occasion unique de redécouvrir l’histoire du plus célèbre des pharaons avant l’installation permanente de cette collection au sein du nouveau Grand Musée Égyptien du Caire. Une exposition mondiale Le trésor de Toutânkhamon © Vincent Nageotte Présentée par le Ministère des Antiquités égyptiennes et IMG à la Grande Halle de la Villette, en collaboration avec le musée du Louvre, cette exposition immersive présente une sélection de plus de 150 objets originaux issus du tombeau, parmi lesquels de nombreux objets personnels du jeune souverain qui l’ont accompagné dans la vie et dans la mort des bijoux en or, des sculptures ainsi que des objets rituels. Pour les anciens Égyptiens, la mort marque aussi une nouvelle naissance. Cette vie après la mort n’est cependant possible que si le corps est préservé et fait l’objet de rites appropriés. Ainsi, pour permettre cette renaissance et assurer la survie dans l’au-delà, les anciens Égyptiens ont mis en place tout un ensemble de rituels, d’objets, d’images et de textes que l’on retrouve à l’intérieur et sur les murs de la tombe. Les visiteurs de l’exposition suivront la traversée de Toutânkhamon vers la vie éternelle, découvrant au gré du parcours la fonction de chaque objet funéraire dans ce périlleux voyage ainsi que l’histoire de l’une des découvertes majeures de l’archéologie moderne. À l’issue d’une tournée mondiale qui passera par 10 métropoles, les objets présentés rejoindront la collection permanente du Grand Musée Égyptien en construction au Caire, aux côtés du fonds exhaustif dédié à Toutânkhamon. Les bénéfices de cette exposition permettront de soutenir financièrement le Grand Musée Égyptien ainsi que les sites archéologiques en Égypte. Le Grand Musée Égyptien sera situé à proximité du plateau de Gizeh, à 2,5 kilomètres des pyramides de Gizeh. Une fois achevé, il constituera un centre de recherche scientifique, historique et archéologique de pointe qui couvrira plus de 3000 ans d’histoire de l’Égypte ancienne et recueillera plus de 100 000 objets. Ce lieu unique accueillera de nombreux trésors et sera la demeure finale de la collection Toutânkhamon. Introduction à l’exposition Le trésor de Toutânkhamon © Vincent Nageotte La visite de l’exposition débute par une vidéo diffusée sur un écran 180 degrés. L’action commence dans la Vallée des Rois, site qui abrita les tombeaux des pharaons pendant une durée de 500 ans. La caméra balaie le paysage montagneux et désertique, montrant les sites archéologiques en pleine activité, où l’on voit des groupes d’hommes étudier des cartes, fouiller, creuser des roches, ou tamiser du sable. Le narrateur présente Howard Carter, un égyptologue britannique. Nous sommes en 1922 et Howard Carter raconte les nombreuses années qu’il a passées à mettre au jour les tombeaux des monarques égyptiens et la façon dont certaines découvertes dans la Vallée des Rois ont retenu son attention une coupe de faïence sur laquelle est inscrit le nom d’un pharaon inconnu, Toutânkhamon, ainsi que des fragments de feuille d’or sur lesquels figurent les noms de ce roi et de sa reine. Howard Carter avait la conviction que le tombeau de Toutânkhamon se trouvait quelque part dans la vallée, et que ses trésors étaient peut-être intacts. Il était méticuleux dans ses recherches et obsédé par sa quête, qui était nancée par son mécène Lord Carnarvon, un aristocrate fortuné. Mais, après huit ans de recherches infructueuses, ce dernier s’apprête à mettre un terme à ses financements. Il reste à Carter une dernière chance de trouver le tombeau. Un tourbillon d’images remonte rapidement les années, les siècles puis les millénaires. Le compteur s’arrête finalement en l’an 1323 av. Des vues aériennes des palais des pharaons et des temples de Louxor se fondent en une animation qui nous montre le dieu Râ entreprendre son voyage quotidien dans le ciel. La voix imposante du Grand Prêtre tonne, pour nous raconter cette histoire. Il décrit comment, après la tombée de la nuit, Râ voyage dans l’au-delà avant de renaître chaque matin pour recommencer son voyage dans le ciel. Le dieu soleil, resplendissant dans sa barque solaire, disparaît ensuite dans un fondu laissant place à une effigie géante de Toutânkhamon qui occupe tout l’espace. Tandis que des reconstitutions de la vie du roi apparaissent, le prêtre rappelle les quelques faits connus au sujet de Toutânkhamon. Le narrateur explique qu’avant que le Ba, ou l’âme, de Toutânkhamon, ne puisse entreprendre son périple vers l’éternité, son corps doit d’abord être préparé selon les protocoles en vigueur depuis les temps anciens. Des images suivent le voyage final du défunt au fil du Nil, de Louxor jusqu’à la tente de préparation installée dans la Vallée des Rois. Les prêtres, dont on voit se dessiner les silhouettes à l’écran, s’occupent des préparatifs lorsque la caméra se met à suivre le Grand Prêtre qui dirige la cérémonie du rituel de l’Ouverture de la bouche. Tandis que ses mots continuent à résonner, la vidéo s’atténue, laissant progressivement les portes de l’exposition s’ouvrir. De l’autre côté, des lumières tamisées attirent vers la première vitrine d’objets… Soixante objets sortent d’Égypte pour la première fois Le trésor de Toutânkhamon © Vincent Nageotte Nous nous attarderons sur l’un d’entre eux la Figurine d’Horus sous les traits d’un faucon solaire. bois, gesso, feuille d’or. Cet objet a été découvert dans le coin sud-est de l’antichambre, derrière un char. Une image du dieu scarabée Khépri décore les deux faces du disque qui coiffe la tête du faucon. De larges ailes d’oiseau se déploient de part et d’autre du corps d’insecte du dieu. Au-dessus de la tête du scarabée, le disque solaire est flanqué d’une paire d’uræi qui portent des croix ânkhs suspendus à leurs corps reptiliens. Chaque uræus porte la double couronne de Haute et Basse-Égypte. Trois ânkhs supplémentaires pendent du disque solaire. Sous le scarabée, on voit trois traits indiquant le pluriel et un panier neb. Ce disque solaire est donc une interprétation sophistiquée du nom de couronnement de Toutânkhamon, Nebkhéperourê. Ce faucon est le dieu Horus qui incarne le roi et qui est intimement associé à Râ. Vingt-cinq objets présentés en 1967 sont de retour Le trésor de Toutânkhamon © Vincent Nageotte Nous nous attarderons également sur un seul exemple Chaîne et figurine en or représentant un roi accroupi. Carter a découvert une mèche de cheveux enveloppée dans du lin et ce pendentif en or dans un emboîtement de cercueils anthropomorphes dédicacés à Toutânkhamon. Une inscription sur le lin nous apprend que ce sont des cheveux de la reine Tiyi, la grand-mère de Toutânkhamon. Carter et d’autres après lui ont cur longtemps que la figurine représentait le grand-père du roi, Amenhotep III. Cependant, les marques sur les oreilles de la figure indiquent qu’elles sont percées. Par conséquent, ce doit être Toutânkhamon lui-même. Amenhotep III n’apparaît jamais avec des oreilles percées. Les traits du visage, le costume et les sceptres sont extrêmement détaillés, ce qui atteste de l’habileté des artisans à travailler à si petite échelle. Le roi est accroupi, une position que prennent souvent les enfants- dieux, tel Horus, ls d’Isis. Au lieu de porter un doigt à ses lèvres, comme le font souvent les enfants-dieux, le roi lève sa main gauche dans un geste d’adoration. Sa main droite serre la crosse et le fléau royaux. Sa tête est coiffée de la couronne khéprech et de l’uræus. Les disques en bronze qui auraient été fixés sur une véritable couronne en cuir sont ici suggérés par des empreintes rondes. Les cercueils miniatures, et leur contenu, ont été préparés comme les véritables sarcophages du roi. Ils ont été enduits d’onguents pour adhérer les uns aux autres, comme ceux du roi. Y a-t-il une malédiction » Toutânkhamon ? La Malédiction de Toutânkhamon Aussi célèbre que Toutânkhamon et son trésor funéraire, des décès intervenus dans les années qui suivirent la découverte de la tombe, ravivèrent l’idée d’une malédiction des momies, apparue à la fin du XIXe siècle. Le décès inattendu de Lord Carnarvon en 1923 en est sans doute l’origine et donna libre cours à la rumeur d’une malédiction de Toutânkhamon, imputée aux poisons laissés par les anciens Égyptiens dans leurs tombeaux, puis à des champignons et micro-organismes toxiques, et qui aurait touché tous ceux qui avaient osé pénétrer dans l’hypogée royal. Pourtant, Howard Carter ne mourut qu’en 1939, âgé de 64 ans, vraisemblablement épargné par la vengeance du jeune roi ! On raconte par ailleurs que les deux trompettes découvertes dans le tombeau possèderaient des propriétés magiques et notamment le pouvoir d’invoquer la guerre. Ainsi, le soir où elles auraient été jouées pour la première fois en 1939, une coupure de courant plongea le Musée égyptien du Caire dans la pénombre et l’enregistrement s’effectua à la lueur des bougies. Quelques mois plus tard l’Europe entrait en guerre. On aurait joué à nouveau des trompettes avant la guerre des Six Jours de 1967, avant la guerre du Golfe de 1990 et, plus récemment, avant la Révolution égyptienne de 2011. Il n’en fallait pas davantage pour associer une nouvelle légende au nom de Toutânkhamon… Le trésor de Toutânkhamon © Vincent Nageotte La tombe de Toutankhamon était la tombe égyptienne la plus complète jamais trouvée. Son histoire a captivé le monde entier. Son contenu était si extraordinaire que la presse déclara que Carter et Carnarvon avaient découvert la grotte d’Aladdin ! Toutankhamon est devenu une icône de la culture pop, une source d’inspiration infinie pour les films, la mode, la bijouterie, l’architecture et le design d’intérieur… Par Luxe Magazine Accueil
Le théâtre Marsoulan est réputé pour associer théâtre et musique, c'est un peu le Broadway parisien des enfants. Actuellement, parmi sa très riche programmation jeune public, le théâtre propose Toutankhamon et le scarabée d'or. Le grand Vizir veut s'emparer du pouvoir et pour cela il doit se saisir du scarabée d'or qui est caché. Pour connaître son emplacement il tâche d'obtenir cette information du jeune prince Toutankhamon en manipulant la jeune princesse Ankhensenamon. BB-Good La pièce est très bien faite pour les enfants car très interactive. Ils participent à l'histoire en donnant leur avis ou aidant les protagonistes. La musique et les chansons rendent également le spectacle très dynamique. Les petits ont tous été très attentifs, captivés par l'histoire. Le Môme était peut-être un peu jeune pour comprendre la complexité de l'histoire. La pièce est conseillée à partir de 4 ans et cela me semble judicieux pour pouvoir en profiter pleinement. Cependant il l'a réduite à un simple trio deux gentils et un méchant et cela lui a plu. Il a bien retenu le rôle du scarabée. Par ailleurs toutes les chansons sont entraînantes et Le Môme dansait sur son siège. Le texte est bourré d'humour qui plaît aux petits. A la fin de la pièce, les acteurs se plient au jeu des dédicaces et photos. Vous pouvez aussi repartir avec le livre et un petit scarabée Plutôt un petit conseil plutôt qu'une vraie critique. Avant d'aller voir la pièce, n'hésitez pas à parler un peu à vos enfants de l'Egypte ancienne et des pharaons, ils apprécieront davantage le spectacle. Le Môme avait visité le département Egypte ancienne du Louvre, il y a quelques mois, il s'en souvenait un peu et cela a aidé à comprendre l' La pièce est très sympathique pour les parents également, quelques petites références leur sont exclusivement destinées et font sourire. Les acteurs jouent bien et le tout est très bien rythmé. Je n'ai pas eu envie de consulter mes mails et je ne me suis pas du tout ennuyé. La musique du final m'est restée en tête juste tout l'après-midi... Les poussettes doivent rester garer dans le hall qui peut facilement les accueillir et cela vous évite de descendre l'escalier avec Les places tarif plein sont à 12 et 14 euros, ce qui est assez élevé par rapport aux tarifs pratiqués ailleurs. Toutefois, il est possible d'avoir des places à -50 % sur billetreduc ou des sites similaires. Si on comprend la vente de souvenir en lien avec la pièce ou le théâtre, j'avoue que les bâtons lumineux proposés à la caisse m'ont laissé plus perplexe, heureusement Le Môme ne les a pas vu... Alors les poussettes, direction le Théâtre Marsoulan, au 20, rue Marsoulan dans le 12ème, pour aller applaudir Toutankhamon et le scarabée d'or. La pièce se joue jusqu'à la fin du mois de septembre. Voilà une bonne sortie pour oublier la rentrée ! Je vous recommande la pièce pour les enfants âgés de 3/4 ans à 9 ans. Toutankhamon est à l'honneur à Paris en ce moment, certains d'entre vous ont-ils été voir l'exposition Porte de Versailles, j'hésite à y aller comme les objets sont tous des facs similés, est-ce que vous me le conseillez ? Un autre avis chez Maman, on bouge Merci beaucoup au théâtre Marsoulan pour l'invitation.
Ce bracelet est fait en or, lapis-lazuli, cornaline, turquoise et quartzite. Il provient de la tombe de Toutankhamon, laquelle fut découverte en novembre 1922 par Lord Carnarvon et Howard Carter comme chacun sait. Un scarabée qui pousse le disque solaire ? Très étrange métaphore si l’on songe que d’ordinaire, les scarabées font rouler devant eux… tout autre chose que le disque solaire n’est-ce pas ? Le lecteur féru d’entomologie nous objectera que le cousin coprophage du scarabée n’est pas le scarabée lui-même. Et il aura raison. Mais pourquoi lui faire pousser le disque dans ce cas ?Il y a là très certainement un mystère qui nous dépasse. Quoi qu’il en soit, il faudra que nous écrivions quelque chose sur l’archéoentomologie. Après tout, les insectes aussi ont une histoire. Et elle est passionnante.
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