les 14 stations du chemin de croix en image

Quellessont les stations du Chemin de croix ? Le Chemin de la croix n’est pas un acte de sadomasochisme, il est l’unique qui vainc le péché, le mal et la mort, parce qu’il débouche sur la lumière radieuse de la résurrection du Christ, en ouvrant les horizons de la vie nouvelle et pleine. C’est le Chemin de l’espérance et de l Les14 stations du chemin de croix 27 Mai 2014 puis à nouveau dès 1745.Pour les travaux on a utilisé les pierres provenant du couvent Augustin de Schwartzenthann construit en 1117 et en ruine depuis 1543. La chapelle dispose d'un clocheton à bulbe qui est caractéristique du baroque allemand. Les vitraux du XIXe siècle sont l'œuvre d'un Lemétro de Paris est l'un des systèmes de transport en commun desservant la ville de Paris et son agglomération.Exploité par la Régie autonome des transports parisiens (RATP), il comporte seize lignes essentiellement souterraines, totalisant 226,9 kilomètres et 308 stations. Devenu l'un des symboles de Paris, il se caractérise par la densité de son LES14 STATIONS DU CHEMIN DE CROIX TRADITIONNEL 1. Jésus est condamné à mort 2. Jésus est chargé de sa croix 3. Jésus tombe sous le poids de sa croix 4. Jésus rencontre Marie, sa très sainte mère 5. Chemincroix dans autres Objets de Dévotion - Achetez une variété de produits à prix abordables sur eBay. Economisez avec notre option de livraison gratuite. Achetez en toute confiance et sécurité sur eBay! Salle De Sport Lieu De Rencontre. IntroductionLes textes des méditations sur les quatorze stations du rite de la Via Crucis de cette année ont été écrits par quinze jeunes, âgés de 16 à 27 ans. Il y a donc deux principales nouveautés la première n’a pas son pareil dans les éditions du passé et concerne l’âge des auteurs, jeunes et adolescents neuf d’entre eux sont étudiants au lycée de Rome Pilo Albertelli ; la seconde consiste dans la dimension chorale » de ce travail, symphonie à plusieurs voix, aux tonalités et aux timbres divers. Ce ne sont pas les jeunes » qui existent, mais Valerio, Maria, Margherita, Francesco, Chiara, Greta…Avec l’enthousiasme typique de leur âge, ils ont accepté le défi qui a été proposé par le pape au cours de cette année 2018, dédiée en général aux jeunes générations. Ils l’ont fait avec une méthode précise. Ils se sont réunis autour d’une table et ils ont lu les textes de la Passion du Christ selon les quatre Évangiles. Par conséquent, ils se sont mis devant la scène de la Via Crucis et ils l’ont vue ». Après la lecture, respectant le temps nécessaire, chacun des jeunes s’est exprimé en disant quelle particularité de la scène l’avait frappé. Et ainsi il a été plus simple et naturel d’assigner chaque mots-clés, trois verbes, marquent le développement de ces textes surtout, comme on l’a déjà relevé, voir, puis rencontrer, enfin, on est jeune, on veut voir, voir le monde, tout voir. La scène du Vendredi Saint est puissante, même dans son atrocité la voir peut pousser à la répulsion ou bien à la miséricorde et donc, à aller à la rencontre. Justement comme fait Jésus dans l’Évangile, tous les jours, et aussi en ce jour-là, le dernier. Il rencontre Pilate, Hérode, les prêtres, les gardes, sa mère, le Cyrénéen, les femmes de Jérusalem, les deux larrons, ses derniers compagnons de route. Quand on est jeune, chaque jour donne l’occasion de rencontrer quelqu’un et chaque rencontre est nouvelle, surprenante. On vieillit quand on ne veut plus voir personne, quand la peur qui renferme l’emporte sur l’ouverture confiante. Peur de changer, parce que rencontrer veut dire changer, être prêt à se remettre en chemin avec des yeux nouveaux. Voir et rencontrer pousse enfin à prier parce que la vue et la rencontre engendrent la miséricorde, même dans un monde qui semble dépourvu de piété et, en un jour comme celui-ci, abandonné à la colère insensée, à la lâcheté et à la paresse distraite des si nous suivons Jésus par le cœur, à travers aussi le mystérieux chemin de la Croix, le courage et la confiance peuvent alors renaître et, après avoir vu et nous être ouverts à la rencontre, nous ferons l’expérience de la grâce de prier, non plus seuls, mais station Jésus est condamné à mortDe l’Évangile selon Luc Lc23, 22-25 Pour la troisième fois, il leur dit Quel mal a donc fait cet homme ? Je n’ai trouvé en lui aucun motif de condamnation à mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. » Mais ils insistaient à grands cris, réclamant qu’il soit crucifié ; et leurs cris s’amplifiaient. Alors Pilate décida de satisfaire leur requête. Il relâcha celui qu’ils réclamaient, le prisonnier condamné pour émeute et pour meurtre, et il livra Jésus à leur bon te vois, Jésus, devant le gouverneur, qui par trois fois tente de s’opposer à la volonté du peuple et à la fin, choisit de ne pas choisir, devant la foule qui, interrogée par trois fois, décide toujours contre toi. La foule, c’est-à-dire tout le monde, c’est-à-dire personne. Caché dans la masse, l’homme perd sa personnalité, il est la voix de milliers d’autres voix. Avant de te renier, il se renie lui-même, éparpillant sa propre responsabilité dans celle, fluctuante, de la multitude sans visage. Pourtant il est responsable. Égaré par des meneurs, par le mal qui se propage avec une voix sournoise et assourdissante, c’est l’homme qui te nous sommes horrifiés devant une telle injustice, et nous voudrions nous en démarquer. Mais, en faisant ainsi nous oublions toutes les fois où nous, les premiers, avons choisi de sauver Barabbas au lieu de toi. Quand notre oreille a été sourde à l’appel du Bien, quand nous avons préféré ne pas voir l’injustice devant cette place bondée, il aurait été suffisant qu’un seul cœur doute, qu’une seule voix s’élève contre les mille voix du mal. Chaque fois que la vie nous placera devant un choix, rappelons-nous cette place et cette erreur. Permettons à nos cœurs de douter et imposons à notre voix de s’ te prie, Seigneur, veille sur nos choix,éclaire-les de ta lumière,cultive en nous la capacité à nous interroger seul le Mal ne doute arbres qui enfoncent leurs racines dans la terre,s’ils sont arrosés par le Mal, se dessèchent,mais tu as placé nos racines dans le Cielet les feuillages sur la terre pour te reconnaître et te noster…Deuxième station Jésus est chargé de la croixDe l’Évangile selon Marc Mc8, 34-35 Appelant la foule avec ses disciples, [Jésus] leur dit Si quelqu’un veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive. Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de l’Évangile la sauvera ».Je te vois, Jésus, couronné d’épines, tandis que tu accueilles ta croix. Tu l’accueilles, comme tu as toujours accueilli tout et tous. Ils te chargent du bois, pesant, rugueux, mais tu ne te rebelles pas, tu ne rejettes pas cet instrument de torture injuste et ignoble. Tu le prends sur toi et tu commences à marcher en le portant sur tes épaules. Combien de foisne me suis-je pas rebellé et mis en colère contre les tâches que j’ai reçues, que j’ai perçu comme pesantes ou injustes. Tu ne fais pas ainsi. Tu as seulement quelques années de plus que moi, aujourd’hui on dirait que tu es encore jeune, mais tu es docile, et tu prends au sérieux ce que la vie t’offre, chaque occasion qui se présente à toi, comme si tu voulais aller au fond des choses et découvrir qu’il y a toujours quelque chose de plus que ce qui apparaît, un sens caché et surprenant. Grâce à toi, je comprends que c’est une croix de salut et de libération, croix de soutien face à l’obstacle, joug léger, fardeau qui ne surcharge scandale de la mort du Fils de Dieu, mort de pécheur, mort de malfaiteur, naît la grâce de redécouvrir dans la douleur la résurrection, dans la souffrance ta gloire, dans l’angoisse ton salut. La croix elle-même, symbole pour l’homme d’humiliation et de douleur, se révèle maintenant, par la grâce de ton sacrifice, comme une promesse de chaque mort resurgira la vie et dans toute obscurité resplendira la lumière. Et nous pouvons nous exclamer Salut ô croix, unique espérance ! ».Je te prie, Seigneur, fais qu’à la lumière de la Croix, symbole de notre foi,nous puissions accepter nos souffrances et, illuminés par ton amour,embrasser nos croix rendues glorieuses par ta mort et ta la grâce de regarder nos histoireset de redécouvrir en elles ton amour pour noster…Troisième station Jésus tombe pour la première foisDu livre du prophète Isaïe Is 53, 4 En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait, nos douleurs dont il était chargé. Et nous, nous pensions qu’il était frappé, meurtri par Dieu, te vois, Jésus, souffrant tandis que tu parcours le chemin vers le Calvaire, chargé de notre péché. Et je te vois tomber, les mains et les genoux à terre, douloureux. Avec quelle humilité es-tu tombé ! Quelle humiliation subis-tu en ce moment ! Ta nature de vrai homme se voit clairement en ce fragment de ta vie. La croix que tu portes est lourde ; tu aurais besoin d’aide, mais quand tu tombes à terre, personne ne te secourt, bien plus, les hommes se moquent de toi, ils rient devant l’image d’un Dieu qui tombe. Peut-être sont-ils déçus, peut-être se sont-ils fait une fausse idée de toi. Parfois nous pensons qu’avoir foi en toi signifie ne jamais tomber dans la vie. Avec toi, je tombe, moi aussi, et avec moi, mes idées, celles que j’avais sur toi comme elles étaient fragiles !Je te vois, Jésus, qui serre les dents et, complètement abandonné à l’amour du Père, tu te relèves et tu reprends ton chemin. Avec ces premiers pas vers la croix, si titubant, Jésus, tu me rappelles un enfant qui fait ses premiers pas vers la vie et perd l’équilibre et tombe et pleure, mais continue ensuite. Il se confie aux mains de ses parents et ne s’arrête pas ; il a peur mais il avance, parce qu’à la peur s’ajoute la ton courage, tu nous enseignes que les échecs et les chutes ne doivent jamais arrêter notre chemin et que nous avons toujours un choix nous rendre ou nous relever avec te prie, Seigneur, réveille en nous, les jeunes,le courage de nous relever après chaque chutecomme tu l’as fait sur le chemin du te prie, fais que nous sachions toujours apprécierle don très grand et précieux de la vieet que les échecs et les chutesne soient jamais un motif pour la rejeter,conscients que si nous nous confions à toinous pouvons nous releveret trouver la force d’avancer, noster…Quatrième station Jésus rencontre sa mèreDe l’Évangile selon LucLc 2, 34-35 Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction – et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre ».Je te vois, Jésus, quand tu rencontres ta mère. Marie est là, elle marche dans la rue pleine de monde, il y a beaucoup de personnes à côté d’elle. L’unique chose qui la distingue des autres est le fait qu’elle est là pour accompagner son fils. Une situation qui se vérifie quotidiennement les mamans accompagnent leurs enfants à l’école, ou chez le médecin, ou les amènent avec elles au travail. Mais Marie se distingue des autres mamans elle accompagne son fils qui va mourir. Voir son propre fils mourir est le pire destin que l’on puisse souhaiter à une personne, le plus contre nature ; encore plus atroce si le fils, innocent, va mourir par les mains de la justice. Quelle scène contre nature et injuste devant mes yeux ! Ma mère m’a éduqué au sens de la justice et à avoir confiance en la vie, mais ce que mes yeux voient aujourd’hui n’a rien de cela, est privé de sens et plein de te vois, Marie, tandis que tu regardes ton pauvre enfant il a les marques de la flagellation sur le dos et il est contraint de porter le poids de la croix, probablement il tombera bientôt sous elle en raison de la fatigue. Pourtant tu savais que, tôt ou tard, cela arriverait, cela t’avait été prophétisé, mais à présent ce qui est arrivé est tout différent ; et c’est toujours ainsi, nous sommes toujours démunis devant la vie, devant sa cruauté. Marie, à présent tu es triste, comme le serait n’importe quelle femme à ta place, mais tu n’es pas désespérée. Tes yeux ne sont pas éteints, ils ne regardent pas dans le vide, tu ne marches pas la tête basse. Tu es resplendissante, même dans ta tristesse, parce que tu as l’espérance, tu sais que le voyage de ton fils ne sera pas un aller simple et tu sais, tu le sens comme seules les mamans le sentent, que tu le reverras te prie, Seigneur aide-nousà tenir toujours présent l’exemple de Marie,qui a accepté la mort de son filscomme un grand mystère de à agir avec le regard tourné vers le bien des autreset à mourir dans l’espérance de la résurrectionet avec la conscience de n’être jamais seuls,ni abandonnés de Dieu, ni de Marie,mère bonne qui a toujours à cœur ses noster…Cinquième station Simon de Cyrène aide Jésus à porter la croixDe l’Évangile selon Luc Lc 23, 26 Comme ils l’emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix pour qu’il la porte derrière te vois, Jésus, écrasé sous le poids de la croix. Je vois que tu n’y arrives pas tout seul ; en ce moment même de l’effort le plus grand, tu es resté seul, ceux qui se disaient tes amis ne sont pas là Judas t’a trahi, Pierre t’a renié, les autres t’ont abandonné. Mais voici une rencontre imprévue, quelqu’un, un homme quelconque, qui peut-être avait entendu parler de toi et pourtant ne t’avait pas suivi, et au contraire à présent est là, à tes côtés, épaule contre épaule, à partager ton joug. Il s’appelle Simon et c’est un étranger qui vient de loin, de Cyrène. Pour lui aujourd’hui un imprévu, qui se révèle une sont infinies les rencontres et les heurts que nous vivons chaque jour, surtout nous les jeunes qui entrons continuellement en contact avec des réalités nouvelles, des personnes nouvelles. Et c’est dans la rencontre inattendue, dans l’incident, dans la surprise qui désoriente qu’est cachée l’opportunité d’aimer, de découvrir le meilleur dans le prochain, même quand il nous semble nous nous sentons comme toi, Jésus, abandonnés de ceux que nous croyions être nos amis, sous un poids qui nous écrase. Mais nous ne devons pas oublier qu’il y a un Simon de Cyrène prêt à prendre notre croix. Nous ne devons pas oublier que nous ne sommes pas seuls, et de cette conscience nous pouvons tirer la force de nous charger de la croix de celui qui est à nos te vois, Jésus maintenant il semble que tu éprouves un peu de soulagement, tu réussis un instant à respirer à présent que tu n’es plus seul. Et je vois Simon qui sait s’il a fait l’expérience que ton joug est léger, qui sait s’il se rend compte de ce que signifie cet imprévu dans sa je te prie afin que chacun de nouspuisse trouver le courage d’être comme le Cyrénéen,qui prend la croix et suit tes chacun de nous soit assez humble et fortpour se charger de la croix de ceux que nous que, quand nous nous sentons seuls,nous puissions reconnaître sur notre route un Simon de Cyrènequi s’arrête et se charge de notre de savoir chercher le meilleur dans chaque personne,d’être ouverts à chaque rencontre même dans la te prie afin que chacun de nouspuisse à l’improviste se découvrir à tes noster…Sixième station Véronique essuie le visage de JésusDu livre du prophète Isaïe Is 53, 2-3 Il était sans apparence ni beauté qui attire nos regards, son aspect n’avait rien pour nous plaire. Méprisé, abandonné des hommes, homme de douleurs, familier de la souffrance, il était pareil à celui devant qui on se voile la face ; et nous l’avons méprisé, compté pour te vois, Jésus, misérable, presque méconnaissable, traité comme le dernier des hommes. Tu marches péniblement vers ta mort le visage ensanglanté et défiguré, et cependant, comme toujours, doux et humble, tourné vers le ciel. Une femme se fraye un chemin à travers la foule pour voir de près ton visage qui, peut-être, avait tant de fois parlé à son âme, et qu’elle avait aimé. Elle le voit souffrant et elle veut le soulager. Ils ne la laissent pas passer, ils sont trop nombreux, et armés. Mais tout cela n’a pas d’importance pour elle ; elle est déterminée à te rejoindre et elle parvient, un moment, à te toucher, à te caresser avec son voile. Sa force est la force de la tendresse. Vos regards se croisent un instant, le visage dans le visage de l’ femme, Véronique, dont nous ne savons rien, dont nous ne connaissons pas l’histoire, gagne le paradis par un simple geste de charité. Elle s’approche de toi, elle observe ton visage torturé et elle l’aime plus encore qu’avant. Véronique ne s’arrête pas aux apparences qui sont si importantes aujourd’hui dans notre société d’images. Mais elle aime inconditionnellement un visage laid, pas soigné, pas maquillé et imparfait. Ce visage, ton visage, Jésus, montre dans son imperfection même la perfection de ton amour pour te prie, Jésus, donne-moi la forcede m’approcher des autres personnes, de toute personne,jeune ou âgée, pauvre ou riche, qui m’est chère ou qui m’est inconnue,et de voir en ces visages ton à ne pas tarderà secourir le prochain chez qui tu demeures,comme Véronique a accouru vers toi sur le chemin du noster…Septième station Jésus tombe pour la deuxième foisDu livre du prophète IsaïeIs 53, Arrêté puis jugé, il a été supprimé. Qui donc s’est inquiété de son sort ? Il a été retranché de la terre des vivants, frappé à mort pour les révoltes de son peuple. … Broyé par la souffrance, il a plu au te vois, Jésus, tomber de nouveau devant mes yeux. En tombant encore tu me montres que tu es un homme, un homme véritable. Et je vois que tu te relèves de nouveau, plus décidé qu’avant. Tu ne te relèves pas avec orgueil ; il n’y a pas d’orgueil dans ton regard, il y a de l’amour. Et en poursuivant ta marche, en te relevant après chaque chute, tu annonces ta résurrection, tu montres que tu es prêt à charger une fois encore et pour toujours, sur tes épaules sanglantes le poids du péché de l’ tombant encore tu nous as donné un message clair d’humilité ; tu es tombé à terre, sur cet humus dont nous, les humains, sommes nés. Nous sommes terre, nous sommes boue, nous ne sommes rien comparés à toi. Mais tu as voulu devenir comme nous, et maintenant tu te montres proche de nous, avec nos propres peines, nos propres faiblesses, la même sueur à notre front. Maintenant toi aussi, en ce vendredi, comme il nous arrive à nous aussi, tu es prostré de douleur. Mais tu as la force de continuer, tu n’as pas peur des difficultés que tu peux rencontrer, et tu sais qu’à la fin des peines il y a le paradis ; tu te relèves, justement, pour t’y rendre, pour nous ouvrir les portes de ton Royaume. Tu es un Roi étrange, un roi dans la suis pris de vertige nous ne sommes pas dignes de comparer nos peines et nos chutes aux tiennes. Les tiennes sont un sacrifice, le sacrifice le plus grand que mes yeux et que toute l’histoire ne pourront jamais te prie, Seigneur, fais que nous soyons prêts à nous relever après être tombés,que nous puissions apprendre quelque chose de nos que, lorsqu’il nous arrive de nous tromper et de tomber,si nous sommes avec toi et que nous serrons ta main,nous pouvons apprendre et nous que nous, les jeunes, puissions porter à tous ton message d’humilitéet que les générations à venir ouvrent les yeux sur toiet sachent comprendre ton à aider celui qui souffre et tombe à côté de nous,à essuyer sa sueur et à tendre la main pour le remettre noster…Huitième station Jésus rencontre les femmes de JérusalemDe l’Évangile selon Luc Lc 23, 27-31 Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur Jésus. Il se tourna et leur dit Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi. Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants ! Voici venir des jours où l’on dira “Heureuses les femmes stériles, celles qui n’ont pas enfanté, celles qui n’ont pas allaité !” Alors on dira aux montagnes “Tombez sur nous”, et aux collines “Cachez nous”. Car si l’on traite ainsi l’arbre vert, que deviendra l’arbre sec ? »Je te vois et je t’écoute, Jésus, alors que tu parles aux femmes que tu rencontres sur ta route vers la mort. Durant toutes tes journées tu es passé en rencontrant beaucoup de personnes, tu es allé à la rencontre et tu as parlé avec tous. Maintenant tu parles avec les femmes de Jérusalem qui te voient et qui pleurent. Je suis moi aussi l’une de ces femmes. Mais toi, Jésus, dans ton avertissement, tu utilises des mots qui me touchent, ce sont des paroles concrètes et directes. À première vue elles peuvent sembler dures et sévères, parce qu’elles sont franches. Aujourd’hui nous sommes en effet habitués à un monde de paroles tortueuses. Une froide hypocrisie voile et filtre ce que nous voulons réellement dire ; on évite de plus en plus les mises en garde, on préfère laisser l’autre à son destin, ne prenant pas la peine de le solliciter pour son que toi, Jésus, tu parles aux femmes comme un père, même en les réprimandant ; tes paroles sont des paroles de vérité, elles sont immédiates avec pour seul but la correction, non pas le jugement. C’est un langage différent du nôtre, tu parles toujours avec humilité et tu parviens droit au cette rencontre, la dernière avant la croix, une fois encore ton amour apparaît sans mesure envers les derniers et les exclus. En effet, les femmes à cette époque n’étaient pas considérées comme dignes d’être sollicitées, alors que toi, dans ta gentillesse, tu es vraiment te prie, Seigneur, fais que moi,avec les femmes et les hommes de ce monde,nous puissions devenir toujours plus charitablesvis-à-vis de ceux qui sont dans le besoin, comme toi tu as la force d’aller à contre-courantet d’entrer en contact authentique avec les autres,en jetant des ponts et en évitant de nous enfermer dans l’égoïsmequi nous conduit à la solitude du noster…Neuvième station Jésus tombe pour la troisième foisDu livre du prophète Isaïe Is 53, 5-6 C’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé, à cause de nos fautes qu’il a été broyé. Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui par ses blessures nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait son propre chemin. Mais le Seigneur a fait retomber sur lui nos fautes à nous te vois, Jésus, alors que tu tombes pour la troisième fois. Deux fois déjà tu es tombé et deux fois tu t’es relevé. Il n’y a plus de limites à ta fatigue et à ta douleur, tu sembles désormais définitivement vaincu dans cette troisième et dernière chute. Combien de fois, dans la vie de tous les jours, il nous arrive de tomber ! Nous tombons si souvent que nous ne savons plus combien de fois, mais nous espérons toujours que chaque chute sera la dernière, car il faut le courage de l’espérance pour faire face à la souffrance. Quand quelqu’un tombe si souvent, à la fin les forces disparaissent et l’espérance s’évanouit m’imagine près de toi, Jésus, sur le parcours qui te conduit à la mort. Il est difficile de penser que tu es le Fils de Dieu en personne. Quelqu’un a déjà essayé de t’aider mais tu es maintenant épuisé, tu es arrêté, paralysé et il semble que tu ne parviendras plus à continuer. Mais voilà que, soudain, je vois que tu te relèves, tu redresses les jambes et le dos, autant qu’il est possible avec une croix sur les épaules, et tu recommences à marcher. Oui, tu marches vers la mort, mais tu veux le faire jusqu’au bout. C’est peut-être ça l’amour. Ce que je comprends c’est que le nombre de nos chutes n’a pas d’importance. Il y aura toujours la dernière, peut-être la pire, l’épreuve la plus terrible dans laquelle nous sommes appelés à trouver la force pour arriver au bout du chemin. Pour Jésus, la fin est la crucifixion, l’absurdité de la mort, mais qui révèle un sens plus profond, un but plus haut, celui de nous sauver te prie, Seigneur, donne-nous chaque jourle courage pour continuer sur notre que nous accueillions jusqu’au boutl’espérance et l’amour que tu nous as tous puissent faire face aux défis de la vieavec la force et la foi avec lesquelles tu as vécules derniers moments de ton cheminvers la mort sur la noster…Dixième station Jésus est dépouillé de ses vêtementsDe l’Évangile selon Jean Jn 19, 23 Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c’était une tunique sans couture, tissée tout d’une seule pièce de haut en te vois, Jésus, nu, comme je ne t’ai jamais vu. Ils t’ont privé de tes vêtements, Jésus, et ils se les ont tirés au sort. Aux yeux de ces hommes, tu as perdu le seul lambeau de dignité qui t’était resté, le seul objet que tu avais en ta possession sur ton chemin de souffrance. À l’aube des temps, ton Père avait cousu des vêtements pour les hommes, pour les revêtir de dignité ; maintenant ce sont des hommes qui te les arrachent. Je te vois, Jésus, et je vois un jeune migrant, le corps détruit qui arrive sur une terre trop souvent cruelle, prête à lui prendre son vêtement, son seul bien, et à le vendre ; prête à le laisser comme ça avec sa seule croix, comme la tienne, avec seulement sa peau martyrisée, comme la tienne, avec seulement ses yeux remplis de souffrance, comme les il y a une chose que les hommes oublient souvent à propos de la dignité elle se trouve sous ta peau, elle fait partie de toi et sera toujours avec toi, et encore plus en cet instant, dans cette nudité avec laquelle nous naissons est la même avec laquelle la terre nous accueille au soir de la vie. D’une mère à l’autre. Et là, maintenant, sur cette colline, se trouve aussi ta mère qui te voit nu de te vois et je comprends la grandeur et la splendeur de ta dignité, de la dignité de tout homme que personne ne pourra jamais te prie, Seigneur, fais que tous, nous puissions reconnaîtrela dignité propre de notre nature,même quand nous nous retrouvons nus et seuls devant les que nous puissions toujours voir la dignité des autres,l’estimer, et veiller sur te prions de nous accorder le courage nécessairepour nous comprendre nous-mêmes au-delà de notre apparence ;et d’accepter la nudité qui nous appartient,et qui nous rappelle notre pauvreté,que tu as aimée jusqu’à donner ta vie pour noster…Onzième station Jésus est cloué sur la croixDe l’Évangile selon Luc Lc 23, 33-34 Lorsqu’ils furent arrivés au lieu-dit Le Crâne ou Calvaire, là ils crucifièrent Jésus, avec les deux malfaiteurs, l’un à droite et l’autre à gauche. Jésus disait Père, pardonne-leur ils ne savent pas ce qu’ils font ».Je te vois, Jésus, dépouillé de tout. Ils ont voulu te punir, toi innocent, en te clouant sur le bois de la croix. Qu’est-ce que j’aurais fait à leur place, aurais-je eu le courage de reconnaître ta vérité, et la mienne ? Tu as eu la force de supporter le poids d’une croix, de ne pas être cru, d’être condamné pour tes paroles dérangeantes. Aujourd’hui, nous ne parvenons pas à digérer une critique, comme si chaque parole était prononcée pour nous ne t’es pas non plus arrêté devant la mort, tu as profondément cru en ta mission et tu as fait confiance à ton Père. Aujourd’hui, dans le monde d’internet, nous sommes tellement conditionnés par tout ce qui circule sur les réseaux que, parfois, je doute même de mes paroles. Mais, tes paroles sont différentes, elles sont fortes dans ta faiblesse. Tu nous as pardonné, tu n’as pas gardé de rancune, tu as enseigné à tendre l’autre joue et tu es allé jusqu’au sacrifice total de ta regarde autour de moi et je vois des yeux fixés sur l’écran du téléphone, occupés sur les réseaux sociaux à épingler toutes les erreurs des autres sans possibilité de pardon. Des hommes qui, sous le coup de la colère, crient se détester pour les motifs les plus regarde tes blessures et je suis conscient, maintenant, que je n’aurais pas eu ta force. Mais je suis assise ici à tes pieds, et je me dépouille moi aussi de toute hésitation, je me lève de terre pour pouvoir être plus proche de toi, ne serait-ce que de quelques te prie, Seigneur, fais que devant le bien,je puisse avoir la promptitude pour le reconnaître ;Fais que devant une injustice, je puisse avoirle courage de prendre en main ma vie et d’agir différemment ;fais que je puisse me libérer de toutes les peursqui, comme des clous, me paralysent et me tiennent éloignéede la vie que tu as espérée et préparée pour noster…Douzième station Jésus meurt sur la croixDe l’Évangile selon Luc Lc 23, 44-47 C’était déjà environ la sixième heure c’est-à-dire midi ; l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure, car le soleil s’était caché. Le rideau du Sanctuaire se déchira par le milieu. Alors Jésus poussa un grand cri Père, entre tes mains je remets mon esprit ». Et après avoir dit cela, il expira. À la vue de ce qui s’était passé, le centurion rendit gloire à Dieu "Celui-ci était réellement un homme juste ».Je te vois, Jésus, et cette fois je ne voudrais pas te voir. Tu vas mourir. Tu étais beau à regarder quand tu parlais aux foules, mais maintenant tout est fini. Et, je ne veux pas voir la fin ; tant de fois j’ai tourné le regard de l’autre côté, je me suis presque habitué à fuir la souffrance et la mort, je me suis cri sur la croix est fort, déchirant nous n’étions pas préparés à tant de souffrance, nous ne le sommes pas, nous ne le serons jamais. Nous fuyons d’instinct, en proie à la panique, face à la mort et à la souffrance, nous les refusons, nous préférons regarder ailleurs ou fermer les yeux. Au contraire, toi, tu restes là sur la croix, tu nous attends les bras ouverts, en nous ouvrant les un grand mystère, Jésus tu nous aimes en mourant, en étant abandonné, en donnant ton esprit, en accomplissant la volonté du Père, en te retirant. Tu restes sur la croix tout simplement. Tu n’essaies pas d’expliquer le mystère de la mort ; dans l’accomplissement de toutes choses, tu fais davantage tu l’as traversé avec tout ton corps et tout ton esprit. Un grand mystère, qui continue à nous interroger et à nous inquiéter ; il nous défie, il nous invite à ouvrir les yeux, à savoir voir ton amour même dans la mort, ou mieux à partir vraiment de la mort. C’est là que tu nous as aimés dans notre condition la plus vraie, incontournable et inévitable. C’est là que nous saisissons, bien que ce soit encore de manière imparfaite, ta présence vivante et authentique. De cela, toujours, nous aurons soif de ta proximité, que tu sois Dieu avec te prie, Seigneur, ouvre mes yeux,que je te voie même dans les souffrances,dans la mort, dans la fin qui n’est pas la vraie mon indifférence avec ta croix, secoue ma toujours avec ton mystère bouleversant,qui dépasse la mort et donne la noster…Treizième station Jésus est descendu de la croixDe l’Évangile selon Jean Jn 19, 38-40 Après cela, Joseph d’Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le corps de Jésus. Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès pesant environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus, qu’ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d’ensevelir les te vois, Jésus, encore, là, sur la croix. Un homme en chair et en os, avec ses fragilités, avec ses peurs. Comme tu as souffert ! C’est une scène insoutenable, peut-être justement parce qu’elle est empreinte d’humanité c’est cela le mot-clef, la marque de ton chemin, jalonné de souffrance et de fatigue. Précisément cette humanité que nous oublions souvent de reconnaître en toi et de chercher en nous-mêmes et dans les autres, trop absorbés par une vie qui appuie sur l’accélérateur, aveugles et sourds face aux difficultés et aux souffrances des te vois, Jésus maintenant tu n’es plus là, sur la croix ; tu es retourné là d’où tu es venu, étendu sur le sein de la terre, sur le sein de ta mère. Maintenant, la souffrance est passée, elle a disparu. C’est l’heure de la compassion. Dans ton corps sans vie retentit la force avec laquelle tu as affronté la souffrance ; le sens que tu as réussi à lui donner se reflète dans les yeux de celui qui est encore là et qui est resté à tes côtés et qui toujours le restera dans l’amour, donné et reçu. S’ouvre pour toi, pour nous, une nouvelle vie, celle-là céleste, sous le signe de ce qui résiste et n’est pas brisé par la mort l’amour. Tu es là, avec nous, à chaque instant, à chaque pas, à chaque hésitation, à chaque obscurité. Alors que l’ombre du sépulcre s’étend sur ton corps gisant entre les bras de ta mère, je te vois et j’ai peur mais je ne désespère pas, j’ai confiance que la lumière, ta lumière, resplendira de te prie, Seigneur,fais que, en nous, soit toujours vive l’espérance,la foi en ton amour nous puissions maintenir toujours vivant et ouvertle regard vers le salut éternel,et que nous réussissions à trouver repos et paix sur notre noster…Quatorzième station Jésus est déposé dans le sépulcreDe l’Évangile selon Jean Jn19, 41-42 À l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n’avait encore déposé personne. À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c’est là qu’ils déposèrent ne te vois plus, Jésus, maintenant il fait nuit. De longues ombres tombent des collines, et les lanternes du Sabbat foisonnent à Jérusalem, hors des maisons et dans les chambres. Elles frappent aux portes du ciel, fermé et impénétrable pour qui est une telle solitude ? Qui peut dormir dans une telle nuit ? La ville résonne des pleurs des enfants, des chants de leurs mères, des patrouilles des soldats ce jour meurt, et seul tu t’es endormi. Tu dors ? Et sur quel lit ? Quelle couverture te cache au monde ?De loin, Joseph d’Arimathie a suivi tes pas, et maintenant sur la pointe des pieds, il t’accompagne dans ton sommeil, il te soustrait aux regards des indignés et des méchants. Un linceul enveloppe ton corps froid, éponge le sang et la sueur et les larmes. De la croix tu tombes, mais avec légèreté, Joseph te hisse sur ses épaules, mais tu es léger tu ne portes pas le poids de la mort, ni de la haine, ni de la rancœur. Tu dors comme lorsque tu étais enveloppé dans la paille tiède et qu’un autre Joseph te tenait dans ses bras. Comme à l’époque il n’y avait pas de place pour toi, maintenant tu n’as rien où poser la tête mais sur le Calvaire, sur la dure tête du monde, là-bas s’élève un jardin où personne encore n’a été es-tu allé Jésus ? Où es-tu descendu, si ce n’est dans les profondeurs ? Où, si ce n’est dans cet endroit encore vierge, dans la prison la plus étroite ? Tu es pris dans nos propres pièges, tu es emprisonné dans notre propre tristesse comme nous tu as cheminé sur la terre, et maintenant sous la terre, comme nous, tu prends voudrais courir loin, mais tu es au-dedans de moi ; je n’ai pas à sortir à ta recherche, parce que tu frappes à ma te prie, Seigneur, toi qui ne t’es pas manifesté dans la gloiremais dans le silence d’une nuit qui ne regardes pas la surface, mais qui vois dans le secretet qui entres dans les profondeurs,des profondeurs écoute notre voix fais que, fatigués, nous puissions nous reposer en toi,reconnaître en toi notre nature,voir dans l’amour de ton visage endorminotre beauté noster… Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo exemple de site de téléchargement BRÈVES Un spécialiste "catholique" de l'Ancien Testament perd la foi Othmar Keel, 80 ans, est un spécialiste de l'Ancien Testament internationalement reconnu qui a fait beaucoup d'argent avec l'Église marié, il a enseigné de 1967 à 2002 à l'Université de Fribourg, en a récemment déclaré au Tagesanzeiger qu'il était non-croyant et agnostique et avait cessé de pratiquer tout en restant un professeur "catholique".Au cours de sa carrière, il s'est engagé publiquement en faveur de la politique de l'Église libérale. Il est un fervent partisan de la ligne du pape a déclaré au quotidien qu'il ne croit pas en une vie après la mort mais s'attend à "retourner à la nature".Maintenant, "la plus belle chose" pour lui, "ce qui [lui] tient le plus à cœur" est de dormir. Il a l'intuition qu'après la mort il "[entrera] dans le Nirvana et [se dissoudra] dans le néant". C'est pour lui "un état de bonheur".Ce que les Évangiles disent de la résurrection du Christ est pour Keel le résultat d'un "vœu pieux". Pour lui, le désir de vivre éternellement est une "présomption".Néanmoins, Keel admet qu'il prie tous les jours "Les habitudes constituent une bonne partie de notre vie quotidienne. Quand je dis Dieu, je veux dire le destin ou la nature."Après la mort, Keel veut que son corps soit utilisé pour des expériences Othmar Keel, © Spartanbu, wikicommons, CC BY-SA, newsStfyaaqwgt François a dit Plus d'enfer ! »Keel en a fait son affaire !Il a dit Plus d'âme non plus ! »Keel croit en dieu-nature, sans plus !Il a dit Plus de Jugement ! »Keel en est très fort content !Il a dit Nous sommes tous sauvés ! »Keel se sent béatifié ! Le cardinal Sarah donne une leçon à François sans le nommer Le cardinal Robert Sarah a souligné que "l'amour et la loi sont liés l'un avec l'autre".Il a déclaré le 5 avril au Catholic Herald qu'un ami de Dieu respecte l'enseignement de Dieu selon les mots du Christ Si vous m'aimez, alors vous respecterez mes commandements. »Sarah a souligné que les prêtres et les évêques y compris le pape se conforment à cette vérité ou "trompent le peuple de Dieu".Le pape François est souvent accusé de semer la confusion chez les fidèles. Il a également déclaré à plusieurs reprises qu'il est "malsain" de suivre "rigoureusement" la loi de Dieu [comprendre avec fidélité].Image Robert Sarah, © Antoine Mekary, Aleteia, CC BY-NC-ND, newsVvvesyjwwm Sarah roule pour FrançoisPuisqu'il ne le nomme pas,Et Burke, lui, fait tout n'est point une merveillePuisqu'ils sont de Vatican IIComme François tout autant qu' sensibilité est différente,Mais ils sont sur la même pente. François parle aux religieux Ne soyez pas des missionnaires Le pape François a envoyé un message vidéo à un grand rassemblement de religieux espagnols à Madrid, en Espagne, les 5 et 8 n'avait rien de mieux à dire que de leur demander de ne pas s'engager dans une activité missionnaire, qu'il qualifie de "prosélytisme".Selon François le religieux devrait "seulement ouvrir des voies pour que le Seigneur lui-même puisse parler". Il n'a pas précisé ce qu'il voulait dire avec cette formule a ajouté que les religieux doivent éviter les campagnes électorales ou de publicité parce que "l'appel de Dieu ne fonctionne pas à travers des modèles de marketing".Néanmoins, le Vatican procède actuellement à Rome à une campagne de publicité mettant en vedette le pape François pour son projet médiatique Vatican ainsi que les évêques italiens, avec François à leur tête lancent régulièrement de grandes campagnes publicitaires pour récolter plus d'argent.newsRkrdolxitr Préparez donc la voieÀ l'Antéchrist-FrançoisQui, assis sur Vatican II,Se fera passer pour donc, cardinaux ! Nous sommes au bout du rouleau ! »Alors vous autres, notables ! Mais nous mangeons à sa table ! » À proprement parler, le chemin de croix n'est pas dans l'Évangile. C'est davantage un trésor issu de la tradition populaire, qui a voulu faire mémoire des dernières heures du Christ. De la condamnation à mort à la mise au tombeau, en voici les quatorze I Jésus est condamné à mortÉtape II Jésus porte sa CroixÉtape III Jésus tombe pour la première foisÉtape IV Jésus rencontre sa mèreÉtape V Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croixÉtape VI Véronique essuie le visage de JésusÉtape VII Jésus tombe pour la deuxième foisÉtape VIII Jésus rencontre les femmes de Jérusalem qui pleurentÉtape IX Jésus tombe pour la troisième foisÉtape X Jésus est dépouillé de ses vêtementsÉtape XI Jésus est cloué sur la CroixÉtape XII Jésus meurt sur la CroixÉtape XIII Jésus est descendu de la Croix et son corps est rendu à sa mèreÉtape XIV Le corps de Jésus est mis au chemins de croix comportent une quinzième station. Le premier a été celui de Lourdes, construit en 1958 pour le centenaire des apparitions de Marie à Bernadette Soubirous. Elle s’intitule Avec Marie dans l’espérance de la résurrection ». D’autres chemins de croix, comme celui de la cathédrale d’Evry construite en 1991, ont adopté cette XVe station qui évoque la résurrection. Quelques jours avant Pâques, le Vendredi saint, les chrétiens sont invités à revivre le parcours du Christ vers le Golgotha c’est le chemin de Croix. Ayant lieu le plus souvent à 15h et décliné en 14 stations, le chemin de Croix fait mémoire des dernières heures de la vie du Christ, offertes pour nous racheter de nos péchés. Signification et sens chrétien du chemin de CroixQu’est-ce que le chemin de Croix ? Pour les chrétiens, le chemin de Croix désigne le parcours de Jésus vers le lieu de son crucifiement. En effet, avant sa mise à mort, Jésus dû porter sa lourde croix jusqu’au sommet du mont Golgotha, ce qui lui causa de grandes souffrances. Pour l’Eglise catholique, le chemin de Croix évoque la cérémonie qui a lieu en mémoire de ce trajet du Christ. Elle a lieu principalement le Vendredi saint, alors que les fidèles commémorent la Passion du Christ, mais elle est également fréquente lors des vendredis de Carême, ou encore pendant le reste de l’année liturgique. Lorsque l’on évoque un “chemin de Croix”, cela peut aussi désigner l’ensemble des symboles matériels marquant les stations - les crucifix ou les icônes placés dans les églises - ou encore les croix du calvaire que l’on rencontre sur les routes de campagne. L’expression “chemin de croix” a également été reprise pour désigner une épreuve difficile de la vie. Le chemin de Croix se déroule souvent au cours d’une marche ou d’une procession, dans une église ou dans un lieu reproduisant la montée au Calvaire. Il peut s’effectuer en groupe, dans le cadre de pèlerinages ou au sein de communautés religieuses, ou bien de façon privée. Le trajet du Christ est évoqué en quatorze moments particuliers, appelés ”stations”, qui sont relatés dans les évangiles ou qui découlent de la tradition chrétienne. A chaque station, une méditation est apportée, ainsi que des prières qui ont lieu devant des tableaux, des crucifix ou d’autres formes de est le sens chrétien du chemin de Croix ? Pour les fidèles, réaliser un chemin de Croix est un acte de commémoration de la Passion du Christ l’Eglise nous invite à suivre Jésus en nous unissant intimement à ses souffrances au cours d’un "pèlerinage" spirituel marqué par trois aspects la marche, la prière et la méditation. En effet, les fidèles sont appelés à cheminer dans les pas du Christ, à se laisser conduire sur le chemin qu’il propose en se faisant véritablement ses disciples ! Puis, par la méditation de chaque épreuve de son chemin de Croix, les pèlerins font mémoire des souffrances qu'endura le Christ pour nous et contemplent ainsi le grand mystère de l’amour de Dieu, alors qu’il donne son fils Jésus pour nous racheter de la mort et du péché. Enfin, par la prière, chacun peut offrir les propres souffrances de sa vie ses épreuves, ses déceptions, afin que le Christ vienne transfigurer nos vies par son mystère pascal ! Réaliser un chemin de Croix, c’est reconnaître l’amour infini de Dieu pour nous, c’est accepter de suivre Jésus et de le reconnaître comme notre Sauveur ! C’est aussi faire acte de pénitence en se reconnaissant pécheur et implorer le pardon et la miséricorde de Dieu. Enfin, il ne faut pas oublier que cette démarche s’inscrit déjà dans la joie de la fête de Pâques, qui marque le sommet de toute vie chrétienne la Passion et la mort du Christ ne prennent sens que par sa glorieuse Résurrection ! Les 14 stations méditées du chemin de Croix Station 1 Jésus est condamné à mort »“Seigneur, tu as été insulté par la foule dont tu avais guéri les malades. Tu as été condamné par un homme, un homme comme nous, une de tes créatures, condamné quand tu étais innocent. Toi, le seul pur, le seul vrai, le seul saint, un homme coupable, un pécheur, t'a jugé. Tu es resté silencieux et doux.”Station 2 Jésus est chargé de sa Croix »“Seigneur, on te présente la Croix, cette Croix que tu as toujours attendue. C'est à elle que tu pensais quand tu étais au milieu de tes apôtres, c'est vers elle que tu allais quand tu montais à Jérusalem. Tu l'as saisie comme l'outil de notre rédemption.”Station 3 Jésus tombe pour la première fois »“Seigneur, la Croix pèse lourd sur tes épaules déjà toutes labourées de durs sillons, rongées par la flagellation. Tu es fatigué, épuisé, tu heurtes les pierres du chemin et tu tombes avec la Croix. Apprends-nous à accepter les échecs et les humiliations.”Station 4 Jésus rencontre sa Mère »“Ta mère est là, Seigneur. Elle ne pleure pas sa souffrance, mais elle mêle ses larmes à tes larmes. Elle ne se met pas en travers du chemin, mais elle te suit. Elle s'unit à toi. Elle nous rachète avec toi.”Station 5 Simon de Cyrène aide Jésus »“Seigneur, tu as voulu être aidé. Ce n'est pas que tu ne puisses toi-même terminer ta Passion, mais tu veux que nous fassions notre part du travail, et l'ajoutions à la tienne. Tu nous fais l'honneur de vouloir de nous pour le salut du monde.”Station 6 Une femme essuie le visage de Jésus »“Parmi cette foule ameutée, une femme s'avance, elle essuie ton visage, et tes traits purs réapparaissent. Autour de nous le monde te méconnaît, mais il ne peut te connaître qu'à travers les chrétiens. C'est nous qui donnons de toi, trop souvent, une fausse image.”Station 7 Jésus tombe pour la deuxième fois »“De nouveau, Jésus tombe. Seigneur, tu as voulu tomber pour nous apprendre que, malgré nos chutes, tu nous aimes encore et que jamais nous ne devons nous décourager.”Station 8 Jésus parle aux femmes de Jérusalem »“Les femmes de Jérusalem se lamentent devant la souffrance. Elles ne savent pas que tes souffrances, ce sont les souffrances de tous les petits, de tous les vaincus de la vie, de ceux qu'on méprise, de ceux qu'on opprime. Elles ne voient pas le péché du monde.”Station 9 Jésus tombe pour la troisième fois »“Une autre fois encore, une troisième fois, tu es tombé sur la route. À travers tous les siècles, ton regard découvre tous ceux qui ne profiteront pas de ton sang, tous les cœurs fermés et ceux que la misère ou la malice des autres éloignera de toi, ceux qui ne comprendront pas ta preuve d'amour.”Station 10 Jésus est dépouillé de ses vêtements »“Seigneur, tu étais nu sur la paille. Te voilà à nouveau dépouillé de tout pour mourir. Tu n'as plus rien, puisque tes vêtements sont tirés au sort. Avec quelle force ne nous cries-tu pas d'aimer la pauvreté !”Station 11 Jésus est cloué sur la Croix »“Tu t'étends sur la Croix et l'on t'y attache avec des clous. Tu donnes ton corps tout entier, tous tes membres. Tu donnes ta liberté. Seigneur, quel exemple, et quelle preuve d'amour !”Station 12 Jésus meurt sur la Croix »“Il n'y a pas de plus grande preuve d'amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime. Tu l'as dit, Seigneur, et tu le fais jusqu'au bout, jusqu'à l'extrême limite de la souffrance. Tu nous aimes jusqu'à la mort.”Station 13 Jésus est détaché de la croix et remis à sa Mère »“On le détache de la croix. On le remet à sa mère. Le Fils et la Mère sont là. Il n'y a plus désormais qu'une seule douleur, celle de Marie, qui doit continuer encore la rédemption. Elle est le trait d'union entre celle de Jésus et celle du monde.”Station 14 Jésus est mis au tombeau »“Le Christ est au tombeau. Nous mourrons un jour, mais ce sera pour vivre. En attendant, s'il faut souffrir, échouer parfois, être vaincu en apparence, nous saurons la valeur de nos souffrances, le sens de nos échecs, la vérité sur notre sort. Le Christ mort ressuscitera.”Une quinzième station est parfois ajoutée elle représente le tombeau vide et symbolise ainsi la Résurrection du Christ. Cette dernière station met ainsi l’accent sur la victoire de Jésus sur la mort et relie chacune des stations au mystère pascal, indissociable de la Passion de Jésus ! Priez avec Hozana ! Le Vendredi saint est le jour où Jésus donne sa vie en rançon pour la multitude ! Regardons celui qui a été “élevé” pour nous sur la croix, adorons-le pour nous et pour toute l'humanité ! Avec Hozana, priez et méditez au jour du Vendredi saint grâce aux belles communautés de prières proposées Méditez sur les sept paroles du Christ en Croix, en images et en musique. Contemplez en musique le mystère de la Croix en recevant des chants sacrés et des 24 jours, écoutez ou lisez une heure de la Passion de notre Seigneur Jésus Christ afin de réparer avec lui pour nos péchés et ceux du monde. PinterestExploreWhen autocomplete results are available use up and down arrows to review and enter to select. 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